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Le mot du maire
Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir.
Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL.
Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral.
Bonne lecture.
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14 Jean BOIS : délibérations 10 vendémiaire an III
Le 10 vendémiaire an III : Nous, maire, officiers municipaux et notables de la commune de Brie, ayant requis Lorent BERNARD, Maçon du Temple, et Léonard RENDANS, aussi maçon du Bourg, pour aller aux travaux de la Forge nationale de Ruelle, pour n’avoir pas obéit à la dite réquisition faite contre eux, nous les avons condamnés à 5 livres d’amende chacun et de se rendre de suite à leur atelier de la dite forge. Suivent 9 décrets : - - mettant en réquisition ceux qui contribuent à la manipulation, au transport et au débit des denrées et marchandises de première nécessité ;
- - relatif à l’approvisionnement des marchés dans toute l’étendue de la REPUBLIQUE.
Le 20 vendémiaire an III : S’est présenté le citoyen ROUAUD, commis des entrepreneurs de la Fonderie Nationale de Ruelle, lequel nous a exhibé un arrêté de l’administration portant qu’il sera fourni par notre commune le nombre de 20 citoyens à l’effet de couper du bois dans la forêt nationale de Braconne pour le service de la dite fonderie.
Le 21 vendémiaire an III : Nous, maire et officiers municipaux de la commune de Brie, avons été requis par le citoyen Jean COGNE, aubergiste des Chirons, pour faire procès verbal d’une vache d’âge inconnu appartenant à la Nation à ce que le dit COGNET nous a déclaré lui ayant été mise entre les mains par le citoyen FILLIOUX, conducteur de bœufs de l’armée, la dite vache venant de la foire de Confolens, marquée N° 2 de l’envoi du citoyen RENÊT, commissaire de la Nation, la dite vache ne pouvant faire la route, le dit COGNET étant allé la chercher à l’endroit appelé Le Puits de Sanguine, sur la charrette aux bœufs, par ordre du conducteur ci-dessus nommé, nous avons reconnu que la dite vache est en bon état si elle pouvait se conduire, mais elle n’est pas le cas de faire la route et nous avons requis le dit COGNET d’en avoir soin de la dite vache en bon père de famille. Une page supplémentaire a été collée par-dessus cette délibération et dit ceci : |
