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Le mot du maire
Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir. Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL. Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral. Bonne lecture. |
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4 Petite histoire : les voies de communication 4 Petite histoire : les voies de communication
Le 28 juin 1835 : la municipalité désigne les pâtres car ceux désignés le 14 décembre 1834 ont démissionné. Les Pâtres sont désignés par groupe de villages. Le Conseil Municipal estime que les procès faits dans la forêt royale devraient être payés par les gardiens et non par la commune puisque toute la commune ne profite pas de la forêt. Cette question des pâtres est évoquée de nouveau le 11 février 1836. C’est une preuve supplémentaire de l’importance des troupeaux à cette époque et des difficultés qu’on éprouvait à les nourrir. De nombreuses difficultés surgissent entre la population de Brie et l’administration forestière. Le Conseil Municipal décide alors de ne nommer des pâtres que pour la garde des troupeaux des indigents. Les pâtres étaient alors rémunérés à 0,30 francs par tête de bétail et par mois (signé : ROSSIGNOL, Maire). Des personnes qui vivaient en 1870 ont assuré que, seuls quelques propriétaires riverains de la forêt, avaient voulu bénéficier de cette tolérance ; qu’en raison du petit nombre de bête, la rémunération des pâtres était si faible que, peu de temps après, ceux-ci cessèrent cette occupation et, depuis, les troupeaux ne pénètrent plus dans la forêt domaniale. Au début du XXème siècle, Brie avait une foire assez bien aprovisionnée en ovins. Les bêtes y étaient parquées aux environs de la bascule publique et le long du mur du cimetière, en bordure de la route. |
