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De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir. Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL. Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral.
Bonne lecture.

Accueil > Commune de Brie > Histoire de la commune depuis 1793 > Petite histoire d'après le livre d'Eugène DUBOIS > 46 Petite histoire : écoles et instruction publique (suite 6)

46 Petite histoire : écoles et instruction publique (suite 6)

Examinons maintenant l'école de la Prévôterie (qui, en réalité, est aux Gendres).
 
Antérieurement, elle fut aux Frauds, mais peu de temps.
 
Ensuite, elle passa au village même de la Prévôterie et occupa longtemps une des belles salles de l'ancien château (logis de M. de NESMOND), appartenant à cette époque à Monsieur BREBION, instituteur.
 
A la fin du XIXème siècle, le Conseil décida de construire une école à l'Est de la commune, car beaucoup d'enfant étaient obligés de faire entre 2 et 5 kilomètres pour se rendre à l'école du Bourg. De nombreuses réclamations et pétitions sont rapportées en Conseil municipal (9 février 1833, 13 octobre 1841, réunion du Comité d'instruction le 30 mars 1844).
 
Le 18 août 1872, le Conseil reconnaît le bien-fondé de la demande des habitants des Frauds et des Rassats, tendant à la création d'une école de filles. Mais c'est l'argent qui freine les meilleures volontés.
 
En 1882, le Conseil constate que l'école de Madame BERTRAND, à la Prévôterie, compte 102 élèves, celle du Bourg en ayant 75.
Il verrait avec plaisir la création de postes d'adjoints, mais ne peut rien voter.

Anecdote intéressante :

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le 22 novembre 1852, Marie NISKLER, née à Agris le 22 décembre 1829, déclare vouloir ouvrir une école à Brie. Le maire accepte.
 
Sa fille, Adrienne LURAT, épouse PLAZER, exercera pendant de nombreuses années les mêmes fonctions au Bourg où elle prendra sa retraite.
 
Sa petite fille, Antonia PLAZER, épouse LAVAUD, fut également membre de l'enseignement pendant quelque temps.
 
Enfin, son arrière petite fille, Marguerite ROUHIER, épouse ROUHIER puis CHAMFRAUD, née en 1922, figurait encore comme institutrice à Brie dans les années 1950.
 
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