Mandat de Pierre CHANTRAN
29 octobre 1984 :
Décision d'acquisition d'une maison pour les associations :
Mr et Mme PARISIS sont en Guadeloupe et ont mis leur maison en vente pour 600 000 Francs.
Cette maison pourrait devenir la maison des associations (MdA).
Emprunt prévu de 600 000 Frs.
Le Conseil donne sont feu vert.
NDLR :
Au cours des années, de nombreux travaux ont été effectués dans cette maison, afin de la rendre pratique pour les associations mais aussi pour les familles qui se réunissent (mariages, repas familiaux, communions, anniversaires, etc) et également pour des réunions (assemblées générales, réunions publiques, etc).
Elle sert aussi, toutes les semaines, au Club des Aînés pour jouer aux cartes, au scrabble et autres distractions.
Elle est composée d'une grande salle pouvant accueillir une quarantaine de convives à table, d'une cuisine avec four, gazinière, congélateur et frigidaire.
Une petite salle était réservée à l'assistante sociale et sert à faire dormir les enfants en bas âge lorsqu'il y a réunion familiale.
Une salle un peu plus grande est réservée à l'école départemntale de musique.
Enfin, elle est composée d'un logement qui a été réservé, au départ, pour la famille du responsable des services techniques qui était, en même temps, Garde-champêtre. Ce logement est occupé aujourd'hui par l'épouse de l'ancien Garde-champêtre qui avait un logement de fonction près de l'église, que la commune a récupéré pour réaliser la bibliothèque.
Mandat de Guy BRANCHUT
25 septembre 2003 :
Location éventuelle du logement de la MdA :
Le logement de la MdA est libre depuis le départ du responsable des services technique qui a fait construire.
Madame SAINTE-CROIX, épouse de l'ancien Garde-Champêtre, est logée dans un logement communal près de la Poste, mais ce dernier est vétuste et nécessiterait une bonne rénovation.
Il est proposé à Madame SAINTE-CROIX de prendre le logement de la MdA, moyennant un loyer mensuel de 229 €, sachant qu'il existe quelques inconvénients dûs aux bruits engendrés par la mitoyenneté de la MdA proprement parlé.
Le Conseil, à l'unanimité, accepte cette location mais précise :
- les inconvénients liés à la proximité de la MdA,
- que ce logement sera loué par elle et non par ses descendants qui n'auront aucun droit.
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