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Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir. Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL. Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral.
Bonne lecture.

28 Petite Histoire : le cimetière (suite 3)

A peu près à la même époque, Monsieur PINASSAUD, de Brie, décrivit la pierre tombale, trouvée près de la grange de Jardenat. Elle mesurait 0,55 mètre de large; creusée au milieu en forme de cercueil, les parois avaient une épaisseur de 0,10 m, par suite de cassure, sa longueur avait été réduite à 0,95 m; la nature de la pierre était en calcaire tendre et s'apparentait à celle trouvée près des Roulis.
En construisant la route de Brie à l'Echalotte, au sud du village des Gendres, au lieu dit <<Champ du Sable>>, au-dessus du puits communal connu sous le nom de <<Puits des Combes>>, on a découvert dans un sol de sable quelques ossements auprès desquels étaient des vases.
 
Dans cette même région, toujours dans la carrière appartenant à M. FERLAND, garde champêtre, on a découvert, en 1941, d'autres ossements ainsi que 2 vases ayant la forme d'une petite carafe de terre, de la grosseur du poing.
Dans le milieu du Bourg, vers 1930, on avait mis à jour dans la cour de la famille AUCOUTURIER, un squelette à environ 60 mètres de l'église, à l'est et, dit-on, plusieurs autres, bien antérieurement, au même endroit.
Deux squelettes furent aussi découverts dans une carrière de sable près de la Fontaine de Lirat en bordure du chemin de la Fontaine au village des Cloux. Eugène DUBOIS dit les avoir vu en place (on peut donc situer la date dans les années 30) : ils étaient incomplets, mais non déplacés.
Le 29 août 1941, les ouvriers qui construisaient la route allant de Tartassonne aux Rigaloux, face au village des Roulis et au nord de ce hameau, sur le penchant exposé au midi, mirent à jour les restes de deux cercueils en pierre avec de nombreux ossements. Les cercueils étaient brisés.
D'autres ossements épars dans la terre voisine se trouvaient orientés dans tous les sens, ce qui laissait supposer soit des fouilles antérieures, soit un apport de squelettes longtemps après les décès.
Le mystère plane sur ce petit cimetière.
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