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Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir. Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL. Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral.
Bonne lecture.

Page 34/40 Eugène DUBOIS

Image de Page 34/40 Eugène DUBOIS
Photo Guy BRANCHUT 1996
Photo Guy BRANCHUT 1996
Le 13 novem bre 1938:
 
- 6 cyprés seront achetés pour le cimetière.
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Ci-dessous dégâts causés par les racines d’un cyprés (photo 1993) Cyprés
restant en 08/2008. Les autres cyprés ont été enlevés fin des années 90 à
cause des dégâts sur les tombes.
 
Image de Page 34/40 Eugène DUBOIS
Photo G; BRANCHUT 1993
Photo G; BRANCHUT 1993
Le 08 décembre 1938:
 
- Plan d'alignement sur le chemin vicinal ordinaire allant de BRIE au TEMPLE, dans la traversée du village des MARQUANTS et dans celui du TEMPLE, avec une largeur de 6 mètres entre fossés.
Image de Page 34/40 Eugène DUBOIS
Photo G. BRANCHUT 2006
Photo G. BRANCHUT 2006
- Décision de faire ajouter une véranda sur la porte de la citerne de la poste.
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La véranda est donc posée sur la citerne.
Remarquer les pierres du mur , dans la cour, qui proviendraient également
du Lac des Frauds.
 
 - Décision de faire faire le devis d'adduction d'eau, même si aucune commune ne se joint à BRIE pour former le Syndicat.
 
Le 18 décembre 1938 :
 
Là encore il ne s’agit pas d’un conseil mais d’un témoignage relevé dans le livre d’Eugène DUBOIS :
 
Ce jour là, vers 13 heures, commença à tomber un verglas qui rendit vite toute circulation impossible sur les routes unies.
La chute fut de courte durée, 2 heures à peine, mais de nombreux automobilistes ne purent éviter les fossés où leurs voitures restèrent plusieurs jours.
Le soir, la vue de la campagne avec son tapis brillant et des arbres d’où pendaient des milliers de stalactites, eut fait les délices d’un peintre ou d’un poète. L’intempérie provoqua la mort de beaucoup de végétaux, à peine remis des blessures causées par l’ouragan de 1935. Dans mon jardin, deux énormes cupressus, tous les lauriers tin et les fusains, ne devaient point y survivre.
 
NDLR : en 1975, nous vécurent à peu près la même chose avec la neige qui resta plus d’une semaine. Le phénomène du verglas se reproduisit en 1992 ou 93 où, en une vingtaine de minutes, toute circulation devint impossible et même les nationales furent bloquées et il fallut accueillir les personnes dans les salles des fêtes un peu partout en Charente.
 
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